Je considère que tous les mages partis en pèlerinage à la cité sainte ont eu la prophétie :
L’Aigle et le Lion ont bataillé pour la prise de Sion.
Mais celle-ci est restée au fils de la Lune.
Les amis des chats bataillent dans l’ombre.
Dans son nid d’aigle, le vieux ouvre les portes aux infidèles.
A l’appel du vicaire, la seconde Rome doit tomber.
Les jumeaux mendiants parcourent les pays de la croix.
Les tribunaux de Dieu partout s’élèvent.
Dans la terre des troubadours, chutent les fils de Mani,
Brulés par la flamme de la foi.
Les 3 fils du victorieux se disputent l’empire paternel.
Mais l’oncle doit emporter le triple empire.
Bientôt s’élève une grande stupeur.
Et le grand fauconnier sans verser le sang.
Obtient les clefs de Sion.
Les gardiens du palais de Salomon
A leur tour trahi par le roi fleuri
Connaissent le baiser de la flamme.
Les fils de la Lune refluent au nord de la mer.
Les fils du soleil quittent le sud de la mer.
Les soigneurs refluent vers l’Ile.
Guerres saintes dans les déserts brulants.
Guerres saintes dans les plaines glacées.
Les chevaliers blancs brisent le pont de glace.
Et sont engloutis dans les eaux froides du lac.
Bientôt s’élève le Marteau de la Foi.
Mais ceci est une autre histoire.